Cela fait plusieurs années que l'alcool est au centre des débats et recherches scientifiques. Depuis, on ne sait toujours pas s'il faut en consommer ou s'en abstenir. Les publicités et différentes analyses ne font qu'entretenir le flou autour du sujet. Parce que vous devez savoir, nous avons décidé de vous dire la vérité dans cet article.
Les fausses idées entretenues autour de l'alcool
Pour des causes inavouées, plusieurs personnes distillent au sein de l'opinion publique des idées fausses concernant la consommation de l'alcool. Ainsi l'alcool est présenté comme un désaltérant alors même qu'il contribue très fortement à la déshydratation du corps de son consommateur. L'alcool est même présenté comme un puissant énergisant. Faux également puisqu'il s’agit d’un neurodépresseur qui ralentit vos capacités de penser, de parler et de bouger. Il ralentit vos mouvements et vos coordinations. Cliquez ici pour lire l'article complet d'un autre site abordant la même préoccupation.
L'alcool, un loup dans une peau d'agneau
Cela fait plusieurs années que les voix les plus autorisées tirent la sonnette d'alarme sur l'alcool et ses dangers sur la santé. Jusqu'à récemment cependant, la consommation à faible dose de ce liquide fermenté était considérée comme protectrice contre certaines maladies. Il était même dit qu'il existe un niveau de consommation non dangereux. Faux pourtant. Selon les conclusions d'une étude publiée récemment dans une revue scientifique réputée, The Lancet, l'alcool est dangereux, même à faible dose. Les effets bénéfiques tant vantés de l'alcool sur le cœur et d'autres organes seraient d'ailleurs tout simplement annulés par le risque accru de cancers et d’autres maladies. Ainsi en 2016, l'alcool serait responsable directement ou indirectement de 2,8 millions de morts et aurait été le principal facteur de risque pour la mortalité prématurée et le handicap parmi les personnes âgées de 15 à 49 ans. Au lieu d'avoir un quelconque effet bénéfique, la consommation d'alcool même à la plus faible dose accroît de manière significative le risque de développer une des 23 pathologies liées à l'alcool.